Notre grande équipe est composée de personnes passionnées, au service des communautés autochtones et côtières. Nous sommes interdisciplinaires, et notre approche holistique met le focus sur la santé des écosystèmes et des humains qui y vivent.
Nous tenons à remercier et honorer les nations Huronne-Wendate, Innue, Atikamekw et Abénakise qui nous accueillent sur le territoire de la ville de Québec maintenant partagé avec nous toutes et tous. Tel que le dit si bien Michèle Audette, Innue, adjointe au vice-recteur et conseillère principale à la réconcilitation et à l’éducation autochtone à l’Université Laval: « Je rappelle souvent avec amour et humour l’origine du nom Québec… Les Innus étaient tellement généreux et accueillants que nous avons dit aux gens venus de loin: « Kepak kepak: débarquez de vos bateaux. Venez, nous allons vous accueillir. Kepak kepak Québec. »
L’équipe de la Chaire Littoral veut renforcer les liens avec les nations qui nous entourent. Chères et chers étudiant.e.s des Premières Nations, Inuit et Métis, si vous êtes intéressé.e.s à participer aux projets en cours ou bien si vous avez des idées de projet à l’interface de la santé et de l’environnement, n’hésitez pas à nous contacter. Il nous fera plaisir d’en discuter et on verra bien où le vent nous mène!
Mélanie et toute l’équipe
Membres de la Chaire
PROFESSEURE ET TITULAIRE DE LA CHAIRE DE RECHERCHE LITTORAL
Mélanie Lemire est professeure titulaire au Département de médecine sociale et préventive à l’Université Laval et chercheure à l’Axe Santé des populations et pratiques optimales en santé au CHU de Québec et à l’Institut de biologie intégrative et des systèmes (IBIS). Elle est l’experte désignée pour le Canada au sein du Human Health Assessment Group du Arctic Monitoring and Assessment Programme (HHAG-AMAP) et de la Effectiveness Evaluation Committee de la Convention de Minamata sur le mercure. Ses projets mettent de l’avant des approches transdisciplinaires, intersectorielles et participatives, et portent sur l’étude des contaminants environnementaux, des changements océaniques, et de la nutrition en lien avec la santé des Autochtones et des populations côtières. Ses résultats sont utilisés pour éclairer des décisions, le développement d’outils d’aide à la décision et la mise en œuvre de programmes et de politiques à l’échelle locale, fédérale et internationale.
Mélanie est une fan de kayak de mer et de cyclotourisme. Amoureuse de la région du Kamouraska, vous la trouverez les deux mains dans la terre de son jardin qui s’agrandit d’année en année.
PROFESSIONELLE DE RECHERCHE
Sara détient un baccalauréat et une maîtrise en biologie. Elle travaille comme professionnelle de recherche à la Chaire Littoral pour le projet FISHES. Ses travaux portent principalement sur les liens entre les écosystèmes marins, l’omble chevalier, et la sécurité alimentaire au Nunavik.
Elle est amenée à faire du travail de terrain et de laboratoire afin d’étudier la contribution de la diète de l’omble chevalier sur sa qualité nutritive. Elle fait aussi des workshops qualitatifs avec les Nunavimmiut afin de mieux comprendre l’importance et le rôle de l’omble chevalier pour la sécurité alimentaire et la santé des Inuit, dans un contexte de changements globaux.
PROFESSIONELLE DE RECHERCHE
Elisabeth a plus d’une corde à son «harpe». En plus de s’accomplir professionnellement comme artiste multidisciplinaire, Elisabeth a complété une maîtrise en santé communautaire – profil en santé mondiale et cumule de riches expériences en tant qu’infirmière ou assistante/coordonnatrice de recherche au Mali, dans des communautés Anishnabées et Innues et au Nunavik.
Elle est actuellement impliquée sur le projet FEHNCY (Food, Environment, Health and Nutrition of First Nations Children and Youth). Son désir de découvrir, de partager et de s’engager pour le bien-être des populations oriente son parcours dans des contextes multiples, à l’interface de la santé, de l’environnement, des arts et de la culture.
STAGIAIRE POSTDOCTORALE
Amira a obtenu son doctorat à l’Université du Michigan, Ann Arbor en sciences de la santé environnementale et son diplôme MPH en santé et politique environnementale à l’Université George Washington. Après avoir terminé un stage postdoctoral à l’Université de Toronto Scarborough, elle a commencé un deuxième stage postdoctoral avec l’équipe de Mélanie Lemire et Pierre Ayotte.
Forte d’une expertise en épidémiologie environnementale et en maladies chroniques, Amira est passionnée par la recherche multidisciplinaire qui intègre les facteurs de stress environnementaux et sociaux pour mieux comprendre la santé globale. Elle étudie présentement les effets des substances perfluoroalkyliques sur les fonctions cardiométaboliques et immunologiques des communautés inuites au Nunavik.
Amira débutera un poste de professeur à l’Université de Boston en juillet 2024.
STAGIAIRE POSTDOCTORALE
Marianne est stagiaire postdoctorale dans le cadre du projet FISHES. Elle détient un doctorat du département des sciences des ressources naturelles de l’Université McGill, ainsi qu’un baccalauréat et une maîtrise en biologie de l’Université Laval.
Elle s’intéresse aux écosystèmes marins dans le contexte de changements arctiques ainsi qu’à l’importance des ressources marines pour les communautés nordiques, particulièrement les pêcheries d’omble chevalier. Son approche à la recherche est transdisciplinaire, dans le but d’associer différents types de savoirs : locaux, autochtones, et académiques. Marianne est également communicatrice scientifique et livre ses recherches à l’aide d’articles, de conférences, de courts métrages, d’ateliers interactifs et des nouveaux médias.
Marianne débutera un poste de professeur à l’Université TELUQ en septembre 2024.
PROFESSIONNELLE DE RECHERCHE
Julie détient un baccalauréat et une maîtrise en géographie. Lors de ses études, elle s’est intéressée à comprendre la variabilité de l’évolution et des écosystèmes côtiers sur un gradient latitudinal de Whapmagoostui-Kuujjuarapik à Umiujaq au Nunavik. Elle travaille comme professionnelle de recherche à la Chaire Littoral pour le projet FISHES. Elle aide à la coordination d’ateliers qualitatifs avec les Nunavimmiut.
ÉTUDIANTE À LA MAÎTRISE EN SANTÉ PUBLIQUE
Alexandrine est étudiante en maîtrise en santé publique – santé environnementale. Son parcours académique a débuté en tant qu’infirmière avant de se réorienter vers un baccalauréat en biologie médicale à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Elle a également obtenu un diplôme de deuxième cycle en enseignement au collégial à l’Université Laval, en raison d’intérêts marqués pour l’enseignement et la vulgarisation scientifique.
Elle contribue aussi en parallèle à la portion Clinique Mobile du projet FEHNCY, un projet de recherche pancanadien visant à mieux comprendre les déterminants socio-environnementaux de la santé des enfants et des jeunes des Premières Nations âgés de 3 à 19 ans. Son implication dans ce projet la mène à faire du travail de terrain et de laboratoire dans diverses communautés au Canada.
Son projet de maîtrise se concentre sur les interactions entre l’ergothionéine, la sélénonéine et le méthylmercure dans les globules rouges des Inuit. Elle vise notamment à contribuer à la documentation des effets potentiels de ces nutriments sur la toxicité du méthylmercure et sur la santé des Nunavimmiut.
ÉTUDIANT AU DOCTORAT EN SCIENCES CLINIQUES ET BIOMÉDICALES
Marcos détient un doctorat en médecine (M. D.) ainsi qu’un master (M. Sc.) en Biochimie, Biologie Moléculaire et Applications de l’Université d’Abomey-Calavi (Bénin). Pour faciliter son intégration dans le milieu professionnel, il a fait des formations en gestion de la qualité et en gestion de projet. Au cours de ses études médicales, il s’est engagé dans une étude portant sur les contaminants environnementaux au Bénin, leurs effets sur la santé puis la création d’une association à but non lucratif dénommée « Safe Health » afin de contribuer à l’amélioration de la santé des populations.
Dans le cadre de son doctorat en sciences cliniques et biomédicales à l’Université Laval, il intègre l’équipe de Pierre Ayotte et Mélanie Lemire pour étudier le rôle bénéfique de la sélénonéine contre la toxicité du méthylmercure chez les Inuit.
ÉTUDIANTE À LA MAÎTRISE EN SANTÉ PUBLIQUE
Geneviève est bachelière en psychologie et possède une expérience professionnelle en santé et services sociaux. Elle a œuvré au Nunavik à titre d’intervenante, gestionnaire et poursuit comme consultante depuis plusieurs années.
Elle effectue un retour aux études supérieures pour approfondir sa compréhension des problématiques sociales afin de pouvoir mieux agir au niveau populationnel, principalement sur les déterminants sociaux de la santé et les inégalités sociales de santé. Dans le cadre de sa maîtrise en santé publique qui s’inscrit à l’intérieur du projet Tininnimiutait, elle s’intéresse aux savoirs inuit en lien avec les espèces intertidales ainsi qu’à leur rôle pour la santé et le bien-être des Nunavimmiut, selon leur propre conception holistique de la santé. Elle souhaite développer des façons de valoriser ces ressources locales dans les interventions de santé publique relatives à l’alimentation et à la sécurité alimentaire.
Samuel est étudiant à la maîtrise en science des aliments. Après avoir obtenu un baccalauréat en enseignement des sciences au secondaire, il s’est tourné vers le programme de baccalauréat en science et technologie des aliments, qu’il a suivi pendant un an. Sa maîtrise, qui s’inscrit dans le projet Tininnimiutait, a comme objectif d’évaluer le potentiel des aliments marins locaux accessibles depuis le littoral pour contribuer à renforcer la sécurité et la souveraineté alimentaire au Nunavik. Son travail se concentre spécifiquement sur l’étude des propriétés organoleptiques, de l’innocuité et du profil nutritionnel des ressources marines du littoral de cette région.
Agathe a évolué quelques années dans le monde de la restauration et de la transformation alimentaire avant d’effectuer un retour sur les bancs d’école. Depuis, elle détient un baccalauréat en sciences et technologies des aliments et fait présentement une maîtrise en sciences des aliments qui s’inscrit dans le projet Tininnimiutait. Son projet porte principalement sur la caractérisation du profil nutritionnel, de l’innocuité et des propriétés organoleptiques des algues brunes et des moules bleues. De plus, elle s’intéresse aux différentes façons de promouvoir la consommation des produits marins du littoral dans une optique d’alimentation saine et durable.
Marcel est originaire de l’île Margarita, au Venezuela. Il est arrivé au Canada pour poursuivre une maîtrise en biologie à l’Université Laval, sous la direction de Philippe Archambault. Pendant sa maîtrise, il a travaillé avec les Inuit de Kangiqsualujjuaq pour étudier la démographie des populations de moules bleues de la baie d’Ungava. Il a pu partager des outils et des méthodologies pour étudier les ressources marines tout en apprenant des connaissances et de l’expertise des Inuit. Marcel est désormais étudiant au doctorat au sein du projet Tininnimiutait, et poursuit ses recherches sur les moules bleues de la baie d’Ungava.
Khashiff Miranda est originaire d’Inde, où il a travaillé dans les écoles publiques du plateau tibétain et en tant que Divemaster PADI dans les îles Andaman. Ici, il a développé une passion pour l’environnement marin ainsi qu’une expérience dans l’engagement et le soutien des communautés autochtones. Khashiff a terminé son B.Sc. en biologie et son M.Sc. en informatique à l’Université de Chicago, où il a également étudié le cycle des nutriments et les effets écosystémiques des forêts de varech et des herbiers marins sur la côte ouest des États-Unis sur les rives de la tribu Makah.
Maintenant, Khashiff fait son doctorat à l’Université Laval où il utilise la cartographie par drone et la détection par satellite pour développer des outils pouvant être utilisés pour une meilleure gestion des ressources au Nunavik pour le projet Tininnimiutait. Il se concentre sur l’impact actuel et changeant de la glace de mer sur la vie intertidale, qui fait partie du régime alimentaire des Nunavimmiut.
Ariane a complété son baccalauréat à l’Université du Québec à Rimouski en biologie, concentration des sciences marines. Elle débute présentement son doctorat en océanographie après un passage accéléré à la maîtrise en biologie dans l’équipe de Philippe Archambault, Pierre Ayotte et Mélanie Lemire.
Elle s’intéresse à l’écologie benthique ainsi qu’à l’écotoxicologie marine en régions polaires et son projet tente d’élucider la source et le mécanisme d’acquisition de la sélénonéine dans le réseau trophique arctique. Elle s’intéresse particulièrement aux organismes consommés par les communautés Inuit comme le béluga et plusieurs organismes benthiques pour baser sa recherche et trouver la source de ce composé bénéfique contre la toxicité du méthylmercure.
STAGIAIRE POSTDOCTORALE
STAGIAIRE POSTDOCTORALE
RÉSIDENT EN MÉDECINE – PSYCHIATRIE
STAGIAIRE POSTDOCTORAL
ÉTUDIANTE À LA MAÎTRISE EN SANTÉ PUBLIQUE
ÉTUDIANTE À LA MAÎTRISE EN ÉPIDÉMIOLOGIE
ÉTUDIANTE À LA MAÎTRISE EN SANTÉ PUBLIQUE
STAGIAIRE POSTDOCTORAL
STAGIAIRE POSTDOCTORAL
PROFESSIONNELLE DE RECHERCHE
ÉTUDIANTE À LA MAÎTRISE EN SANTÉ PUBLIQUE ET AUXILIAIRE DE RECHERCHE
STAGIAIRE POSTDOCTORALE
ÉTUDIANT À LA MAÎTRISE EN BIOLOGIE
COORDINATRICE EN MOBILISATION DES CONNAISSANCES
STAGIAIRE POST-DOCTORALE
ÉTUDIANTE À LA MAÎTRISE EN ÉPIDÉMIOLOGIE
MÉDECIN RÉSIDENTE EN SANTÉ PUBLIQUE
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